Le prodige transalpin qui fait partie du Top 10 au classement ATP s’est confié sur son enfance, passée loin de ses parents qui devaient travailler dur. Il a également profité de ce moment pour revenir sur les relations qu’il entretient avec les autres italiens du circuit.
Médaille d’or olympique en 2012, vainqueur de Wimbledon l’année d’après, Andy Murray – finaliste du Moselle Open 2007 – était revenu en septembre dernier sur plusieurs thèmes d’actualité : la prochaine génération du tennis mondial, ses rapports avec son coach Ivan Lendl, ou encore le développement du tennis féminin au Royaume-Uni.
Karen Khachanov, Alex De Minaur, Lucas Pouille, Hubert Hurkacz, Alejandro Davidovich Fokina, Jannik Sinner,… Tous ont répondu à nos questions à la volée. Séquences émotions.
Triple vainqueur du tournoi, Gilles Simon, l’un des quatre Mousquetaires, revient sur sa rivalité avec Jo-Wilfried Tsonga et les difficultés rencontrées lorsqu’il était plus jeune. Avec son humour habituel.
L’Italien, passé par les équipes jeunes du Torino FC, a commencé le tennis sur le tard. A 13 ans, pour diverses raisons, il choisit la petite balle jaune et confie alors son destin à Gino Arbino. Il ne le quittera plus.
Annoncé comme participant, puis finalement forfait, l'ancien numéro 5 mondial a profité de sa venue à Metz pour livrer quelques anecdotes sur sa riche carrière.
Le Moselle Open, en collaboration avec la Ligue de Tennis du Grand Est, travaille main dans la
main avec les autres tournois de la Région afin que tous bénéficient de son rayonnement national et
international.